Saison de Musique de Chambre | Les 150 ans de G. Rossini - Université Antonine (UA)

  • Saison de Musique de Chambre | Les 150 ans de G. Rossini

    19 janvier 2018

    Sous le Haut Patronage du ministère de la Culture, en collaboration avec l'Institut culturel italien et dans le cadre de sa Saison de Musique de Chambre, l’UA vous invite à célébrer les 150 ans du compositeur G. Rossini avec  la "Petite Messe solennelle", donnée par les solistes de la Chorale de l’UA, le jeudi 25 janvier 2018 au couvent Notre-Dame des Semences, Université Antonine, Hadat-Baabda.

    • Caterina Di Tonno, Soprano
    • Rosa Bove, Contralto
    • Bechara Moufarrej, Ténor
    • Francesco Vultaggio, Baryton-basse
    • Julien Libeer, Fabio Centanni, Piano
    • Marc Karam, Harmonium
    • Direction musicale : Toufic Maatouk, o.a.m.

     

    « Bon Dieu. La voilà terminée cette pauvre petite messe. Est-ce bien de la musique sacrée que je viens de faire ou de la sacrée musique ? J’étais né pour l’opera buffa, tu le sais bien ! Peu de science, un peu de coeur, tout est là. Sois donc béni et accorde-moi le Paradis. »
    G. Rossini

    Résumé :

    À l’occasion des 150 ans de la mort du compositeur G. Rossini, les solistes de la Chorale de l’Université Antonine proposent de revisiter la version originale pour 12 chanteurs et piano.
    Sur la page de garde de son manuscrit, Rossini écrit en 1863 : « Petite messe solennelle, composée pour ma villégiature de Passy. Douze chanteurs des trois sexes, hommes, femmes et castrats seront suffisants pour son exécution, savoir huit pour les choeurs, quatre pour les solos, total douze chérubins. Bon Dieu, pardonne-moi le rapprochement suivant : douze aussi sont les apôtres dans le célèbre coup de mâchoire peint à fresque par Léonard, dit la Cène, qui le croirait. Il y a parmi tes disciples de ceux qui prennent des fausses notes ! Seigneur, rassure-toi, j’affirme qu’il n’y aura pas de Judas à mon déjeuner et que les miens chanteront juste et con amore tes louanges et cette petite composition qui est hélas ! le dernier péché mortel de ma vieillesse. »